Les données sont disposées sur des lignes (qu’on appelle partitions), et au sein de chaque partition on trouve une série de colonnes avec #col/cellule qu’on peut assimiler à une série de clé/valeur.
On peut remarquer qu’une partition peut contenir de 1 à N colonnes, la limite physique de N étant de 2 milliards (2.109), ce qui nous laisse beaucoup de marge. Une différence avec une base de données SQL classique est qu’ici, C* ne réserve pas d’espace en avance pour chaque colonne. La création de colonne se fera lorsqu’on insérera de nouvelles données, dynamiquement.
Une table est un ensemble de :
<Clé de partition, <Clé de colonne,cellule>>
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